Yahoo! a annoncé avoir plus que doublé son bénéfice net au 3e trimestre, de quoi mettre du baume au cœur des investisseurs, alors que le récent cyber-piratage de sa messagerie nourrit des inquiétudes sur son rachat par Verizon.


Le bénéfice net a atteint 163 millions de dollars contre 76 millions un an auparavant, et le résultat par action hors éléments exceptionnels, la référence à Wall Street, est ressorti à 20 cents quand les analystes n'en espéraient que 14.

Le chiffre d'affaires du groupe a progressé pour sa part de 6% à 1,3 milliard de dollars, un niveau conforme aux attentes.

"" En plus de nos efforts continus pour renforcer notre activité, nous sommes occupés à préparer l'intégration avec Verizon. Nous restons très confiants, non seulement dans la valeur de nos activités, mais aussi dans la valeur que les produits de Yahoo apportent à nos utilisateurs "", a commenté dans le communiqué la patronne du groupe internet, Marissa Mayer.

Yahoo!, en difficultés depuis plusieurs années, avait finalement accepté fin juillet de vendre son cœur de métier (à commencer par ses services et plateformes en ligne comme Yahoo News ou Yahoo Mail) à l'opérateur de télécoms Verizon pour 4,8 milliards de dollars.

Le groupe internet a toutefois subi depuis une véritable série noire. En septembre, il avait dévoilé que sa messagerie avait subi deux ans auparavant une cyber-attaque historique, durant laquelle 500 millions de comptes d'utilisateurs avaient été affectés. En octobre, il a dû se défendre d'accusations dans les médias, selon lesquelles il avait scanné les courriels de ses utilisateurs à la demande des services de renseignements américains. Tout cela a alimenté les spéculations sur une potentielle remise en cause du prix payé par Verizon, ce qu'aucun des deux groupes n'a confirmé.

Sans remettre formellement en cause la transaction, le chef du département juridique de Verizon, Craig Silliman, avait malgré tout évoqué la semaine dernière "" des raisons raisonnables de penser aujourd'hui que l'impact (de la cyber-attaque) est important "".

 

"" Nous attendons de Yahoo qu'ils nous expliquent l'impact plein et entier "", avait-il poursuivi. "" S'ils pensent que (l'impact n'est pas important, ndlr), ils doivent nous le montrer. ""

Les drones, autrefois réservés aux amateurs de technologies et jeunes aspirant à devenir pilotes, sont désormais utilisés partout, partant des terrains de jeux et banlieues et allant jusqu'aux champs et circuits de course.


Nommés officiellement Véhicules aériens sans pilotes (UAV), les drones sont un moyen pour amorcer les nouveaux services. Par exemple, ils offrent aux agriculteurs l'opportunité de surveiller leurs champs et suivre leur cheptel d'une façon plus économique, permettent aux agents immobiliers de montrer à leurs clients des quartiers tout entiers et la proximité de magasins et services importants, et aux premiers intervenants de gérer les cas d'urgences et les désastres d'une manière plus efficace. Les drones garantissent aussi des services de haut débit sans fil dans les régions lointaines ou touchées par des catastrophes naturelles… et la liste ne s'arrête pas là.

Actuellement, ces nouveaux cas d'utilisation peuvent être déployés à petite échelle. Toutefois, il est prévu que le déploiement des UAV à une large échelle change plusieurs industries  dont l'agriculture, la construction, la livraison, le divertissement, l'assurance, la cartographie, la collecte de nouvelles, la sûreté publique, les services publiques, les chemins de fer, le secteur immobilier et la préservation de la faune. Une étude établie par le groupe commercial représentant l'industrie des systèmes sans pilotes et robotiques a prévu que les UAS généreront un impact économique de 13,6 milliards de dollars aux Etats-Unis, lors des trois premières années succédant la période durant laquelle ils seront opérationnels dans le système aérien des Etats-Unis, somme qui va croître pour atteindre plus de 82,1 milliards de dollars d'ici 2025.

Rôle des technologies cellulaires

Alors que ces nouvelles applications de drones se concrétisent, il est nécessaire de garder à l'esprit la question de la sûreté associée à la recherche et au développement avancés. Le déploiement des drones à une large échelle requiert une coordination et gestion de trafic tout comme la gestion de trafic et le contrôle aériens d'aujourd'hui. Ceci sera nécessaire, surtout pour les larges flottes de drones autonomes et/ou volant à proximité d'un espace aérien contrôlé (exemple : un aéroport ou une base militaire aérienne).

Toutefois, rares sont ceux qui savent que la technologie cellulaire peut apporter une nouvelle dimension d'une large crédibilité, sécurité robuste, couverture complète, et une mobilité intégrée de l'opération de drone à une large échelle. Les réseaux cellulaires permettent d'opérer et de contrôler les drones au-delà de la ligne de vision du pilote, ce qui sera essentiel pour entreprendre des opérations sûres à large échelle et pour assurer les nouveaux services que les drones introduiront. En outre, la connectivité cellulaire peut renforcer la sûreté des opérations de drones autonomes en accélérant la livraison de plans de vol optimaux et la transmission d'autorisations de vol, suivant ainsi l'emplacement des drones et ajustant les itinéraires de vol en temps quasi-réel. La connectivité cellulaire peut être utilisée aussi pour partager des vidéos en temps réel, par exemple, depuis un drone de surveillance.

Il parait que l'utilisation de la technologie cellulaire au niveau du vol autonome des drones est très raisonnable et pratique. Toutefois, certains continuent à la critiquer toujours et mettent en cause sa sûreté.

Evaluation du LTE dans des environnements défiants du monde réel

Leader dans le monde de la technologie 4G LTE, Qualcomm et ses ingénieurs n'ont pas hésité à saisir l'opportunité de tester des drones contrôlés par le LTE dans des scénarios du monde réel. Nous avions hâte d'analyser comment et si les drones peuvent opérer d'une façon sûre en se basant sur les réseaux 4G LTE commerciaux d'aujourd'hui.

Actuellement, les réseaux cellulaires sont conçus pour servir les smartphones et autres appareils mobiles terrestres, voilà pourquoi nous avons voulu découvrir comment les réseaux cellulaires peuvent servir les drones opérant à de plus hautes altitudes. Conventionnellement, les réseaux cellulaires actuels ne peuvent pas garantir une couverture pour les drones à des altitudes plus hautes parce que les antennes-relais de téléphonie mobile sont orientés vers le bas pour servir les appareils mobiles.

De même, nous avons voulu examiner la façon suivant laquelle nous pouvons appuyer l'opération sûre des drones dans le monde réel sans affecter l'opération des réseaux terrestres.  Les résultats de cette recherche ne nous aideront pas uniquement à optimiser les réseaux LTE pour l'opération sûre des drones, mais garantiront des développements positifs au niveau de leurs régulations et des spécificités  de la 5G puisqu'elles sont liées au déploiement de plusieurs cas d'utilisation de drones à une large échelle.

Tout d'abord, Qualcomm Technologies a travaillé avec l'Administration fédérale de l'aviation des Etats-Unis (FAA) sur l'émission d'un certificat d'autorisation permettant de tester des drones à des altitudes supérieures à 400 pieds, aux alentours du siège de l'entreprise à San Diego. Notre Centre de vol des UAS autorisé par la FAA n'a pas seulement garantit une proximité idéale aux établissements de recherche et développement de Qualcomm, mais a permis aussi de tester les drones dans la Classe B de l'espace aérien parce qu'il est proche de la station militaire aérienne très active, connue sous le nom de Marine Corps Air Station (MCAS) Miramar. En outre, notre centre de vol est entouré de l'environnement réel dans lequel les drones autonomes navigueront un jour, dont des zones commerciales, des régions peuplées, et des régions vastes inhabitées. Toutes ces régions font de l'emplacement de notre centre de vol un des environnements de tests les plus défiants.

Après avoir reçu l'autorisation de la FAA, nous avons collaboré avec AT&T pour essayer l'opération des drones sur ses réseaux commerciaux afin de tester les indicateurs-clés de performance (KPI) tels que la couverture, l'intensité du signal, le débit, la latence, et la mobilité sous de différentes conditions sur les réseaux commerciaux LTE. Les premiers résultats ont montré que les réseaux cellulaires actuels peuvent garantir une couverture pour les drones à des altitudes plus élevées. Nous avons constaté aussi que ceux utilisés durant nos tests sont capables de passer entre les différentes stations de base d'une façon homogène sans aucune défaillance de liaison. Une très bonne nouvelle, mais en avons-nous terminé ? Non.

Nous avons trouvé plusieurs opportunités pour optimiser davantage les réseaux commerciaux LTE, y compris :

  • Gestion de l'interférence : bien que les drones peuvent être servis par de multiples stations de base à une altitude de 400 pieds au-dessus du niveau du sol (AGL), nous avons constaté que l'augmentation de l'interférence à de hautes altitudes affecte la qualité de liaison. Nous travaillons afin de gérer l'interférence reçue par les drones depuis un bon nombre de stations de base « voisines » émettant des radiations jusqu'à 400 pieds AGL.

 

  • Optimisation du passage : nous avons observé aussi différentes caractéristiques de passage des drones en comparaison aux appareils mobiles terrestres. L'impact et l'optimisation sont sous-étudiés.

 

  • Exigences spécifiques aux drones LTE : pour que le réseau puisse optimiser le service pour les drones, il sera nécessaire de distinguer entre un drone et un appareil mobile terrestre. Le réseau pourrait aussi rejeter les drones qui affectent les KPI et qui sont nocifs.

 

Pavant la voie à la 5G

Outre l'optimisation des réseaux 4G LTE actuels visant à entreprendre des opérations sûres de drones, ces résultats nous aident à accélérer le développement de la 5G. Cette technologie apportera un très haut degré de fiabilité et disponibilité, une latence très faible, et une sécurité de bout-en-bout très puissante pour les cas d'utilisation de drones critiques durant lesquels la connectivité est indispensable (tels que les services d'urgence).

En pensant aux capacités de la 5G, nous envisageons des flottes de drones volant d'une manière autonome, communiquant, et ajustant leurs comportements par le biais du partage de données en temps réel.  Imaginez une escadrille de drones collaborant ensembles pour mener une mission de recherche et sauvetage ; tout d'abord cherchant et trouvant le randonneur perdu, puis manipulant et jetant un filet, et enfin amenant la victime à l'établissement médical le plus proche. D'autre part, imaginez un drone équipé d'une caméra à 360 degrés qui capte et diffuse en temps réel tout ce qu'elle voit en volant au-dessus du Grand Canyon. Pendant ce temps, un groupe de personnes portant des casques VR est en train de contempler ce paysage en direct depuis un tour virtuel dans un parc d'attractions en Floride. Les cas et possibilités d'utilisation sont illimités partout où il y a des réseaux cellulaires pouvant garantir la capacité et fiabilité capables de contrôler le trafic aérien pour les drones autonomes.

Les drones commerciaux modernes sont bien au-delà (jeu de mots visé) des jouets avec lesquels les enfants jouent dans les parcs. Ils sont plus rapides, plus grands, plus puissants, et plus avancés technologiquement, à tel point qu'ils offrent de vraies opportunités et capacités une fois réservés aux histoires de science-fiction. La connectivité cellulaire permettra au marché des drones autonomes de faire accroître davantage ces opportunités et capacités. Grâce à notre travail dans le domaine de la vision par ordinateur, l'apprentissage par machine, le traitement de capteur, la localisation GNSS précise, l'évitement d'obstacles, la navigation visuelle autonome, et la vidéographie 4K, et à la plate-forme de développement de drones Qualcomm Snapdragon Flight, vous pouvez vous assurer que Qualcomm sera toujours le premièr à apporter de nouveaux niveaux d'intelligence embarquée, une connectivité sans fil, et à garantir la sûreté des drones autonomes de demain.

 

Rédigé par Maged Zaki, directeur du marketing technique chez Qualcomm.

Traduit de l'anglais par Telecom Review.

En marge de l'exposition Gitex Technology Week 2016, Teknotel, le magazine spécialisé dans le domaine de la technologie et du business, a décerné des prix aux meilleurs fabricants de smartphones et  d'appareils électroniques, ainsi qu'aux entreprises de télécommunications les plus distinguées. La cérémonie s'est tenue le 18 octobre, au Nassima Royal Hotel à Dubaï.


Dans son discours d'ouverture, M. Naim Boueri, directeur des opérations chez Trace Media, a souhaité la bienvenue au public et parlé de l'histoire de Teknotel en tant que premier magazine technologique arabe, lancé il y a déjà 15 ans.

"" Nous avons décidé de nous lancer sur le marché de la publication avec le premier magazine technologique arabe qui portait le nom de T2 Arabia ! A l'époque, nous ne couvrions que le marché de l'électronique grand public. A travers les années, nous avons répondu à la demande croissante en faisant évoluer le magazine jusqu'à ce qu'il devienne connu sous le nom de Teknotel qui, aujourd'hui, couvre toutes les nouvelles technologiques, techniques et en rapport avec le monde des affaires "", a-t-il précisé.

Ensuite, M. Toni Eid, PDG de Trace Media, a accueilli les personnes assistant à la cérémonie et vanté l'importance de cet événement qui honore les leaders et experts en matière de technologie et de business, tout en mettant en valeur les exploits et innovations les plus remarquables de l'industrie.

Les lauréats ont été sélectionnés en se basant sur un vote public, représentant 60% du résultat final. Les 40% restants se sont basés sur l'opinion d'un jury composé de quatre experts dans le domaine des TIC.

Les prix ont été décernés comme suit :

Catégorie

Entreprise

Produit

Meilleure tablette

Lenovo

Yoga book

Meilleur ordinateur portable

HP

HP EliteBook 1030

Meilleure solution de sécurité personnelle

Kaspersky

Kaspersky

Meilleure télévision

Samsung

Samsung Curved 55-inch 4K ULTRA HD

Meilleure caméra d'entrée de gamme

Nikon

Nikon D3400

Meilleure caméra à reflex numérique

Canon

Canon EOS 5Ds

Meilleur fournisseur média

Now TV

Now TV

Meilleur pack de données mobiles

du

du

Meilleur service à la clientèle

Zain

touch – Lebanon

Meilleur opérateur

Etisalat

Etisalat

Meilleure technologie vestimentaire (Wearable)

Huawei

Huawei Watch

Meilleur smartphone bon marché

LG

G5

Meilleur smartphone à double objectif

Huawei

P9

Smartphone de l'année

Sony

Xperia X

Le progrès technologique ne cesse d'affecter divers secteurs et industries, créant de nouvelles tendances. Le  souffle de ce développement a eu son impact bien clair sur la vente des PC qui, dans le temps, avaient révolutionné toute l'industrie. L'ordinateur personnel portable avait remplacé l'ordinateur traditionnel, du simple fait qu'il était plus pratique à utiliser et transporter, et bientôt, le smartphone est venu prendre la place des PC.


La vente des PC a amorcé sa chute depuis 2015. En effet, selon le cabinet d'études IDC, 7,2 millions d'ordinateurs de moins ont été vendus au quatrième trimestre de 2015 comparé à  la même période de 2014.

Le marché mondial des PC a connu une grande chute à cause de plusieurs facteurs. Tout d'abord, après leur grand succès, les tablettes ont cannibalisées leur vente. Puis, est apparu le smartphone comprenant toutes les fonctions d'un ordinateur et garantissant un accès immédiat de n'importe où à l'internet et à tous autres services. Bien sûr, le consommateur a dû suivre la nouvelle tendance et remplacer son PC par un combiné intelligent qui est souvent moins onéreux que l'ordinateur. Par conséquent, la demande sur le PC a régressé, menant à la diminution de ses ventes.

Il faut aussi mentionner le facteur du taux de change qui explique cette régression.  Sur un marché dominé par le dollar, l'évolution du taux de change génère une augmentation des prix de vente, ce qui rend les ordinateurs moins attrayants aux yeux des consommateurs.

Les chiffres enregistrés au début de 2016 n'étaient pas meilleurs que ceux enregistrés en 2015. Au premier trimestre de 2016, la livraison de PC a reculé de 9,6 pour cent et passé sous le seuil de 65 millions d'unités, sachant que la dernière fois que ce nombre a été enregistré était en 2007. Face à cette réalité, plusieurs fabricants de PC ont baissé les bras, tel que Toshiba qui a annoncé qu'il allait quitter le marché des PC suite à des difficultés financières illustrées par une perte record de près de 4 milliards d'euros enregistrée à la fin de l'année fiscale clôturée en avril 2016.

Toutefois, bien que l'avenir des PC semble être sombre, il existe une lueur d'espoir au niveau des ordinateurs portables et de bureau que les entreprises achètent encore, et au niveau des hybrides qui sont des tablettes pouvant se transformer d'un coup en un ordinateur avec clavier. Les estimations montrent que cette tendance pourrait s'inverser au cours des années à venir grâce au Windows 10 qui peut raviver l'industrie des PC, d'autant plus que le marché des tablettes connaît néanmoins une saturation.

D'autre part, une opportunité sans pareille pouvant réanimer la vente des PC, se présente dans les pays émergents surtout en Asie Pacifique, Amérique Latine et  Moyen-Orient.

L'affaire de l'explosion des batteries lithium a resurgi, depuis la sortie du smartphone Samsung Galaxy Note 7 dans l'actualité. Quid de la composition de ces batteries ? Qu'est-ce qui cause leur explosion ? Le géant Samsung n'avait-il pas effectué des tests avant de mettre ces téléphones sur le marché ?


Pourquoi les batteries lithium explosent-elles ?

Le phénomène n'est pas récent. Le problème de l'explosion des batteries lithium équipant nos téléphones ou même certains avions a toujours existé. Les raisons d'une telle réaction consistent en la réunion d'une multitude de facteurs, ce qui revient à dire que l'explosion n'est effectivement pas due à la batterie seule en tant que telle. En effet, quel que soit l'appareil, lorsque la batterie qui l'alimente explose, l'on peut déduire qu'il s'agit d'un défaut de fabrication relatif soit au chargeur utilisé (pouvant ne pas être celui d'origine), soit à la batterie elle-même pouvant souffrir de ce qu'on appelle communément l'"" emballement thermique "". En d'autres termes, l'excès de température qui peut survenir à une batterie entraîne sa surchauffe de manière exponentielle aboutissant à son explosion. Bien que les producteurs aient mis en place un système de protection empêchant cette augmentation de température provoquée par des réactions chimiques cumulant l'énergie, il n'en demeure pas moins que les batteries sont, de nos jours, de plus en plus fines. Le peu d'espace fait que le séparateur qui compartimente les plaques positives et négatives se trouvant à l'intérieur de la batterie est de moins en moins épais, ce qui facilite l'intrusion de produits chimiques à l'origine de cette surchauffe : des dendrites de lithium métalliques se forment et vont toucher l'autre électrode, créant ainsi un court-circuit. Plus encore, ce fusible qui, à l'origine, est supposé couper le chargement de l'appareil pour des raisons d'économie, n'est pas toujours inséré dans les batteries.

Pourquoi continue-t-on à les utiliser si elles sont dangereuses ?

Comme il a été précisé précédemment, ce n'est pas la batterie elle-même qui est dangereuse. Contrairement aux batteries traditionnelles, les batteries lithium se chargent plus rapidement, durent plus longtemps et ont une densité de puissance supérieure. Toutefois, si le fabricant n'a pas pris le soin de bien suivre toutes les consignes de sécurité et d'économiser sur les composants, le danger d'explosion se présente indubitablement. Pour cela, des mesures de précaution peuvent être prises pour éviter un tel souci : toujours opter pour une batterie de la marque de l'appareil en cas de remplacement de cette dernière, ne jamais laisser l'appareil dans un environnement fortement exposé au soleil ou à température élevée, surtout en période de charge, ne pas attendre que la batterie soit au plus bas pour la recharger (en dessous de 50 pour cent, cela pourrait être dangereux). D'autant plus que pour une utilisation sans risque, la température moyenne doit se situer entre -5°C et +120 °C, bien que la stabilité de l'ensemble puisse différer en fonction des éléments internes et surtout de l'usage que l'on a de la batterie.

Les anomalies des modèles d'avion surnommés "" Dreamliner ""

Lorsqu'en 2013 la batterie du Boeing 787 Dreamliner a explosé, c'est toute la flotte aérienne qui a été clouée au sol et les batteries au lithium qui ont été pointées du doigt. Jusqu'à un certain temps, les avions de ligne recouraient aux batteries nickel-cadmium, mais lorsqu'il s'est avéré que celles au lithium offraient une capacité de stockage supérieure avec un temps de charge allant de 0 à 90 pour cent dans un intervalle de 75 minutes, l'industrie a penché pour le second choix. Mettant en œuvre un électrolyte organique inflammable, l'instabilité des batteries lithium est aujourd'hui largement répandue, ce qui pousse les chercheurs à opter pour un remplacement de l'électrolyte (un solvant organique inflammable) liquide par un électrolyte polymère, en conservant l'autonomie des batteries. Il est également à noter qu'en raison de l'oxydation des accumulateurs, processus qui se produit naturellement avec le vieillissement, les batteries au lithium perdent de leur capacité et éclatent, ce qui provoque la fuite de l'électrolyte, souvent de l'hexafluorophosphate de lithium et des sels métalliques. Il suffit alors d'une étincelle ou même d'une surface chaude pour générer une explosion. L'électrolyte contient aussi différents éléments qui peuvent dégager un gaz toxique, le fluorure d'hydrogène.

La connexion sans fil existe actuellement presque partout dans l'infrastructure moderne qu'on trouve dans plusieurs endroits, tels  que les cafés, arrêts de bus, aéroports, écoles, et bureaux. Sans le réseau Wifi, il serait très difficile de rester en contact avec les gens. Le Wifi n'a pas pénétré l'industrie des compagnies aériennes pour une longue période ; en effet, en voyageant, les passagers devaient éteindre leurs téléphones mobiles et accepter le manque général de connectivité avec le monde en dessous. Durant les dernières années, tout a changé, surtout avec l'émergence de services sans fil fiables et gratuits, qui sont disponibles à bord des vols commerciaux.


Bien que le réseau sans fil de base se soit introduit pour la première fois à la fin des années 90, il a fallu attendre jusqu'à 2009 pour voir la première compagnie aérienne offrir le Wifi à bord. Virgin America était la première compagnie aérienne à offrir le service sans fil Gogo à bord de tous ses vols. Gogo Inc. est un fournisseur de services internet haut débit dans les avions et autres services de connectivité pour les aéronefs commerciaux et d'affaires basé à Chicago. L'entreprise a parrainé les services de l'internet sans fil en établissant des partenariats avec 12 compagnies aériennes dont Virgin America, Air Canada, United Airlines et Virgin Atlantic.

Le Wifi à bord est encore un service relativement nouveau, en cours d'évolution et d'amélioration. Depuis son émergence, ce service n'était pas à la hauteur des besoins technologiques des passagers qui aspiraient à une connectivité rapide et cohérente. Plusieurs compagnies aériennes  avaient annoncé qu'elles offriraient le Wifi à bord en 2015, notamment Ryanair, Finnair, Sri Lankan Airlines, Kuwait Airways, TAAG Angola Airlines et West Jet. Toutefois, il restait encore un long chemin à parcourir avant de voir ce service disponible à bord des avions de toutes les compagnies aériennes à un prix raisonnable et une grande vitesse.

Aujourd'hui, un nombre limité de compagnies aériennes offre des services Wifi gratuits à bord, dont Emirates, JetBlue, Norweigian, Turkish Airlines, Air China, Philippine Airlines, Hong Kong Airlines, et Nok Air. Cette orientation va se répandre certainement vu que les compagnies aériennes commencent à réaliser de plus en plus les avantages de garder leurs passagers connectés  à l'ère du numérique.

En outre, la disponibilité de l'internet dans les avions augmente constamment parmi les compagnies aériennes leaders au Moyen-Orient qui sont connues par leurs services luxurieux. "" Nous nous attendons à ce que la région ait l'un des déploiements de connectivité les plus larges lors des années à venir, "" dit Heath Lockett, senior analyste dans le secteur aéronautique  d'une entreprise de recherche basée aux États-Unis.

"" Ceci est stimulé par le fait que plusieurs compagnies aériennes telles que Emirates Airline, Etihad Airways, et Qatar Airways, offrent un grand niveau de luxe à leurs passagers, ayant la connectivité comme partie-clé des plans actuels pour les avions existants et des plans futurs pour les nouveaux avions qui viendront s'ajouter à leur flotte, ""ajoute-t-il.

Origines du Wifi à bord

Durant les années 90, les avions disposaient de combinés Airfone. Chaque appel téléphonique coûtait une fortune et n'offrait qu'une courte interaction statique avec quelqu'un au sol, grâce à des tours terrestres. Quand les compagnies aériennes ont constaté que les passagers n'étaient pas en train d'utiliser l'Airfone, Gogo a eu l'idée d'utiliser la même fréquence pour développer le service d'internet dans les avions.

L'étape d'exécution paraissait très simple : les compagnies aériennes devaient installer une antenne sur la partie inférieure de l'avion pour garantir une communication avec les stations au sol. Toutefois, bien sûr que les stations au sol ne pouvaient être placées dans l'océan, alors il a fallu penser à une autre solution pour garantir l'internet à bord des vols internationaux ; c'est de  là qu'est née l'idée d'utiliser des satellites.

La bande d'émission des satellites est plus coûteuse, voilà pourquoi la mise en place du modèle commercial était difficile au début, mais aujourd'hui, il prospère. Lors des premières étapes de l'adoption du Wifi à bord, les antennes sans fil posaient eux aussi un problème. Par exemple, l'Administration fédérale de l'aviation (FAA) devait s'assurer que tous les aéronefs pouvaient  continuer leur trajet, même si un oiseau heurtait contre le radôme (radar qui couvre l'antenne) à une vitesse de 400 miles par heure.

A l'heure actuelle, il existe différents types de réseau sans fil dans l'avion disponible aux passagers qui aiment rester connectés même en voyageant. Par exemple, le système ATG du Wifi conçu pour les vols  locaux survolant la terre requiert deux antennes doubles installées  au-dessous de l'avion et qui peuvent capter des signaux des tours cellulaires situées  au sol.

L'hôtesse de l'air doit activer le système ATG pour que l'avion commence à capter des signaux des tours  qu'il survole. En effet, la majorité des systèmes ATG offrent aux passagers des vitesses d'internet sans fil de 3 Mbps approximativement qui suffisent pour lire les courriels et consulter les réseaux sociaux. Bien que le dernier système ATG-4 de Gogo puisse supporter près de 10 Mbps, toutefois il n'est pas disponible à bord des avions à une large échelle, contrairement au système ATG-3 plus lent.

Le service offert par le satellite de la bande Ku est un autre moyen pour fournir le Wifi à bord et est populaire parmi les fournisseurs de divertissement à bord tels que Gogo, Panasonic Avionics Corp. et Row 44. La bande Ku assure une couverture plus large que celle assurée par le système ATG et permet aux passagers de rester connectés même en volant hors l'espace couvert par les tours au sol ou au-dessus des océans.

Une antenne de la bande Ku est située dans un appareil ayant la forme d'un dôme sur l'avion et ressemblant à une antenne parabolique de télévision installée sur le toit. L'antenne doit être orientée vers le satellite de transmission pendant que l'avion vole. Les passagers auront accès aux services sans fil au moment où l'antenne capte le signal du satellite fournissant une vitesse de 30 à 40 Mbps.

Bien que les vitesses fournis par la bande Ku sont meilleures que celles fournis par l'ATG, l'efficience dépend du nombre d'avions qu'un satellite peut servir. A cause de la distance qu'un signal doit prendre, la connexion Wifi par satellite souffre souvent de problèmes liés à la latence ; des problèmes qui n'existent pas autant avec les systèmes ATG.

La bande Ka est une autre solution pour le Wifi à bord utilisée normalement pour la communication militaire. C'est le service Wifi le plus rapide disponible dans les avions et est populaire à bord de JetBlue, Virgin America, et quelques avions United 737. La bande Ka est fournie par le fournisseur de services sans fil et satellites ViaSat, grâce à son satellite ViaSat-1 qui rend ce service plus efficace que celui offert par les satellites de la bande Ku et qui garantit des vitesses pouvant atteindre 70 Mbps (similaires à des vitesses dont on peut  profiter chez soi).

Le satellite de la bande Ka de ViaSat lancé en 2011 était le seul de son genre et donc servait  uniquement les Etats-Unis. Toutefois, l'entreprise compte lancer un deuxième satellite de la bande Ka cette année, qui couvrira le Canada et des régions de l'Europe. Profitant de l'exclusivité de la disponibilité de la bande Ka aux Etat-Unis, Virgin America a essayé d'utiliser un récepteur hybride Ka/Ku sur ses aéronefs A320, lui permettant d'alterner entre les bandes Ku et Ka, selon celle qui a le signal le plus fort. D'après Virgin America, ceci permet aux passagers d'avoir accès à Netflix et Spotify.

Dans la majorité des avions modernes, les systèmes de connexion sans fil à bord dépendent d'une technologie similaire à celle une fois utilisée pour équiper les avions des premiers appareils de téléphone intégrés dans les chaises. Dans un aéronef typique, une série de boîtes noires (à ne pas confondre avec les enregistreurs de bord) sera installée derrière le panneau mural sur un côté de l'avion légèrement au-dessus des fenêtres. Ces boîtes serviront de points d'accès du réseau sans fil. Officiellement nommées Wireless Access Points (WAPs), elles  fonctionnent d'une façon similaire aux routeurs qu'on trouve dans les maisons. Toutefois, ces routeurs sont plus coûteux et très fragiles pour être placés à bord d'un aéronef.

En voyageant à bord de différentes compagnies aériennes et en comparant les systèmes Wifi, il faut se souvenir que les vitesses de téléchargement sont contrôlées. En effet, le service sans fil à bord peut être rapide et efficace, toutefois tous les aéronefs le gardent sur le mode "" auto-manette "" afin de pouvoir le distribuer équitablement entre les passagers. Voilà pourquoi, le Wifi à bord sera plus rapide quand le nombre de passagers est limité.

Défis de l'industrie

Le Wifi à bord a fait face à de nombreux défis. En effet, les compagnies aériennes dépendant des tours au sol pour offrir ce service ont fait face à divers problèmes liés à la connexion ; aux Etats-Unis, elles n'en ont pas souffert grâce à la distribution des tours cellulaires partout dans le pays, toutefois dans les régions lointaines telles que Montana et Nebraska, l'implantation des tours est plus étalée, ce qui cause la déconnexion des signaux des antennes.

Afin de résoudre la question de l'interférence de la connectivité avec le sol, le nouveau service ATG-4 a ajouté deux antennes additionnelles qui s'ajoutent actuellement à quelques avions commerciaux. Les tests du service sur les bancs d'essai, volant 737-500 de Gogo, prouvent qu'ATG-4 permet de regarder des vidéos. Toutefois, il est probable que le mode auto-manette réduira la disponibilité de données pour les passagers.

Des véhicules autonomes ont pour la première fois transporté des passagers dans un lieu public au Royaume-Uni, au cours d'un test qui pourrait ouvrir la voie à l'introduction dans le pays de ce type de transports, considéré comme l'avenir de l'automobile.


Le véhicule à deux places a roulé dans une zone piétonne de Milton Keynes, commune au nord de Londres, dans le cadre d'un essai réalisé par l'entreprise Transport Systems Catapult (TCS), qui prévoit de déployer prochainement 40 voitures de ce type dans la ville.

Certes, le véhicule n'a roulé qu'à environ 8 km/h et ne s'est pas aventuré dans le flot de la circulation, mais le jour où les Britanniques verront des voitures sans chauffeur sur les routes "" n'est pas  si lointain "", affirme Neil Fulton, un responsable de TSC.

En guise de conducteur, la voiture utilise "" Selenium "", un logiciel développé par l'Institut de robotique de l'université d'Oxford et sa filiale Oxbotica. Aidé par des caméras et lasers, "" Selenium "" analyse en temps réel l'environnement extérieur pour calculer la trajectoire du véhicule.

Ce dispositif peut être intégré à "" tout ce qui bouge "": voitures, bus, chariots élévateurs, voiturettes de golf ou encore véhicules pour handicapés, a expliqué Ingmar Posner, de l'Institut de robotique.

Les voitures autonomes sont l'un des secteurs les plus en pointe dans la recherche automobile, les constructeurs rivalisant d'annonces pour présenter des voitures capables de se diriger toutes seules. Outre les constructeurs traditionnels, des géants de l'internet comme Alphabet (Google) sont également sur les rangs.

Le canadien BlackBerry a annoncé qu'il allait cesser la fabrication de ses téléphones et confier cette tâche à un sous-traitant indonésien. La société a conclu un accord de co-entreprise avec PT Tiphone Mobile Indonesia pour créer PT BB Merah Putih, qui fabriquera les appareils BlackBerry en Indonésie, selon un communiqué conjoint.


"" BlackBerry n'est plus qu'une simple marque de smartphone "", a observé son PDG John Chen, disant vouloir s'atteler à développer les logiciels faisant fonctionner au mieux les appareils. "" Cette co-entreprise n'est qu'une des nombreuses étapes attendues pour permettre la réussite de notre stratégie de mise sous licence de nos logiciels "", a-t-il noté.

BlackBerry avait annoncé il y a un an le lancement d'un premier smartphone fonctionnant sous son système d'exploitation, BB 10, mais aussi sous celui de Google, Android. "" BB Merah Putih va fabriquer, distribuer et faire la promotion des appareils BlackBerry qui utilisent les logiciels et applications BlackBerry "", a souligné l'entreprise établie au sud de Toronto.

BlackBerry s'associe à PT Tiphone, filiale du leader indonésien du marché PT Telekomunikasi, dans le cadre d'un programme du gouvernement indonésien visant à développer la fabrication locale de smartphones, note l'entreprise canadienne.

Le pionnier du smartphone, devenu dans ce segment un acteur secondaire, tente depuis trois ans de recentrer ses activités dans la fourniture de logiciels et de services aux entreprises et aux gouvernements.

Les ventes de PC ont continué de baisser au troisième trimestre, le groupe chinois Lenovo conservant seulement de justesse sa place de numéro un mondial, selon des estimations publiées par deux cabinets de recherche.


IDC estime le nombre d'ordinateurs écoulés sur le trimestre, toutes marques confondues, à environ 68 millions, ce qui représenterait selon ses statistiques un recul de 3,9 pour cent sur un an. Gartner évoque pour sa part 68,9 millions d'unités vendues, pour une baisse évaluée à 5,7 pour cent sur un an.

Le marché du PC traverse une grave crise, depuis maintenant plusieurs années, cannibalisé par les smartphones devenus bien plus populaires auprès de nombreux consommateurs.

Si le premier fabricant mondial, Lenovo, souffre du ralentissement de son marché domestique et a encore vu ses ventes reculer ce trimestre, d'autres grands acteurs comme les américains HP Inc et Dell sont toutefois revenus à la croissance.

Dans ce contexte, Lenovo n'a conservé sa couronne que de justesse au troisième trimestre, avec 20,9 pour cent de part de marché contre 20,4 pour cent pour HP selon Gartner, et un écart encore plus faible, de 21,3 pour cent contre 21,2 pour cent, selon IDC.

Dell, en troisième position mondiale, est encore un peu trop loin pour les menacer : il émarge à 14,7 pour cent du marché selon Gartner, et 15,8 pour cent selon IDC.

Mikako Kitagawa, analyste chez Gartner, évoque "" deux problèmes fondamentaux "" pour expliquer la nouvelle baisse des ventes mondiales au troisième trimestre : "" l'extension de la durée de vie des ordinateurs causée par un excès d'appareils chez les consommateurs, et une demande faible sur les marchés émergents "".

Sur les marchés occidentaux matures, "" la majorité des consommateurs possède, et utilise, au moins trois sortes d'appareils différents "", parmi lesquels le PC "" n'a pas une haute priorité "", explique-t-elle ; les consommateurs "" ne ressentent pas le besoin de changer de PC aussi souvent qu'avant. Certains pourraient même décider de ne plus jamais en changer. "" Quant aux consommateurs des pays émergents, ils "" utilisent principalement des smartphones et des tablettes pour leurs besoins informatiques "", ajoute-t-elle.

Loren Loverde, employée chez IDC, évoque toutefois "" des améliorations sur le marché "", y voyant entre autres les résultats des efforts des fabricants pour tenter de convaincre les consommateurs de racheter un ordinateur en renouvelant leur gamme de produits et en mettant à profit les possibilités offertes par de nouveaux processeurs et systèmes d'exploitation.

Le ministre des télécoms libanais, Boutros Harb, a déclaré lors d'une conférence de presse qu'il a demandé aux opérateurs de téléphonie mobile alfa et touch de réduire les prix des abonnements à l'internet mobile le plus rapidement possible.


Cette initiative vise à promouvoir la commercialisation des services sur le réseau 4G+ qui est en cours de déploiement sur tout le territoire libanais. Répondant à l'appel du ministre, les deux opérateurs touch, géré par Zain et alfa, géré par Orascom, ont annoncé la baisse des prix des abonnements à l'internet mobile.

En effet, Marwan Hayek, PDG d'alfa a annoncé la baisse de 10 à 20 pour cent des tarifs. Par exemple, le forfait mensuel pour 1,5 Gb par mois passe de 19 à 17 dollars. Il a de même dévoilé deux nouvelles offres postpayées d'abonnement incluant l'accès à internet ; l'offre Start-Up pour 45 dollars incluant 550 minutes d'appels locaux, 100 SMS et 1,5 Gb de données, et l'offre VIP pour 185 dollars incluant 2200 minutes d'appels locaux, 120 minutes d'appels internationaux, SMS illimités, et 15 Gb de données. De son côté, touch a déclaré des baisses de 10 à 40 pour cent des tarifs de l'internet mobile afin de pouvoir répondre aux besoins de ses clients et les permettre de profiter des services offerts.

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